Auteur
James Sacré
(Photographie Michel Durigneux)
James Sacré est né en 1939, au lieu-dit Cougou dans le village de Saint-Hilaire-des-Loges. Il passe son enfance et son adolescence à la ferme des parents en Vendée.
D’abord instituteur puis instituteur itinérant agricole, il part, en 1965, vivre aux Etats-Unis où il poursuit des études
de lettres (thèse sur la poésie de la fin du XVIè siècle français)..Il y enseigne dans une université du Massachusetts (Smith College)
tout en faisant de nombreux séjours en France et en Suisse (direction de programmes universitaires de Smith College)
et des voyages en d’autres pays (l'Italie et le Maroc, souvent).
Depuis 2001 il vit de nouveau en France, à Montpellier.
Livres et plaquettes publiés
Relation, Bordeaux, N.C.J., 1965. Repris, légèrement modifié, dans Relation, essai de deuxième ancrit (1962-63; 1996),
La femme et le violoncelle, Lamérac, Jean-Claude Valin éditeur, 1966 (avec un dessin de Pierre Bugeant). Repris dans Trois anciens poèmes mis ensemble pour lui redire je t’aime.
"Graminées" in Poésie-Ecrire, collectif, Paris, Le Seuil, 1968. Repris dans Les mots longtemps. Qu’est-ce que le poème attend ?
La transparence du pronom elle, Paris, Chambelland, 1970. Tirage de tête (avec des burins d’Yvon Vey). Repris dans Trois anciens poèmes mis ensemble pour lui redire je t’aime.
Coeur élégie rouge, Paris, Le Seuil, 1972; Marseille, André Dimanche, 2001.
Comme un poème encore, Liège, Atelier de l'agneau, 1975 (avec des dessins d’Yvon Vey). Repris dans La poésie, comment dire?
Paysage au fusil (coeur) une fontaine, Paris, Gallimard, Cahier de poésie 2, (collectif), 1976; Tours, La Cécilia, 1991. Repris dans Les mots longtemps. Qu’est-ce que le poème attend ?
Un brabant double avec des voiles, Paris, Nane Stern, 1977. Repris (avec une autre disposition des textes) dans Les mots longtemps. Qu’est-ce que le poème attend ?
Un sang maniériste. Etude structurale autour du mot sang dans la poésie lyrique française de la fin du seizième siècle, Neuchâtel, La Baconnière, 1977.
Figures qui bougent un peu, Paris, Gallimard, 1978. Repris dans Figures qui bougent un peu et autres poèmes.
“Exercice et plaisir en faveur de l’amour” in L'amour mine de rien, collectif, Paris, Encre/Recherches, 1980. Repris dans La poésie, comment dire?
Quelque chose de mal raconté, Marseille, André Dimanche, 1981. Tirage de tête (avec une gravure d’Olivier Debré). Repris dans Figures qui bougent un peu et autres poèmes.
Des pronoms mal transparents, Chaillé-sous-les-Ormeaux, Le dé bleu, 1982. Repris dans Une petite fille silencieuse.
Rougigogne, Paris, Obsidiane, 1983 . Tirage de tête (avec deux sérigraphies d’Yvon Vey). Repris dans Dans l’œil de l’oubli suivi de Rougigogne.
Ancrits, Losne, Thierry Bouchard, 1983. Tirage de tête (avec des eaux-fortes de Patrice Vermeille). Repris dans Affaires d’écriture (ancrits divers).
Ecrire pour t'aimer; à S.B., Marseille, André Dimanche, 1984. Tirage de tête (avec deux empreintes de Claude Viallat).
Bocaux, bonbonnes, carafes et bouteilles (comme), Paris, Le Castor astral et Le Noroît, 1986 (avec des photographies de Bernard Abadie). Repris dans Les mots longtemps. Qu’est-ce que le poème attend ?
La petite herbe des mots, Chaillé-sous-les-Ormeaux, Le dé bleu, 1986. Repris dans Si peu de terre, tout.
La solitude au restaurant, St. Benoît-du-Sault, Tarabuste, 1987 Tirage de tête (avec des travaux de Thierry-Loïc Boussard). Repris dans Ecrire à côté.
Une fin d'après-midi à Marrakech, Marseille, André Dimanche, 1988.
Un oiseau dessiné, sans titre. Et des mots, St. Benoît-du-Sault, Tarabuste, 1988 (avec un dessin de Jillali Echarradi). Repris dans La nuit vient dans les yeux.
Le taureau, la rose, un poème, Montpellier, Cadex, 1990 (avec des dessins de Denise Guilbert). Repris dans Trois anciens poèmes mis ensemble pour lui redire je t’aime.
Je ne prévois jamais ce que je fais quand je dessine, Paris, Les petits classique du grand pirate, 1990 (avec des dessins de Jillali Echarradi). Repris dans La nuit vient dans les yeux.
Comme en disant c'est rien, c'est rien, Saint- Benoît-du-Sault, Tarabuste, 1991 (avec des dessins de Jillali Echarradi). Repris dans La nuit vient dans les yeux.
On regarde un âne, Saint-Benoît-du-Sault, Tarabuste, 1992 (avec une photographie d’abderrazzak Benchaabane). Tirage de tête (avec une aquarelle d’Areski Aoun) .Repris dans Aneries pour mal braire,Tarabuste, 2006.
Ecritures courtes, Chaillé-sous-les-Ormeaux, Le dé bleu, 1992. Repris dans Si peu de terre, tout.
La poésie, comment dire?, Marseille, André Dimanche, 1993.
Des animaux plus ou moins familiers?, Marseille, André Dimanche, 1993.
Le renard est un mot qui ruse, Saint-Benoît-du-Sault, Tarabuste, 1994 (avec un dessin de Jillali Echarradi). Repris dans La nuit vient dans les yeux.
Ma guenille, Sens, Obsidiane, 1995.
Viens, dit quelqu'un, Marseille, André Dimanche, 1996.
Essais de courts poèmes, Toulouse, Cahiers de l’Atelier, 1996 (avec des dessins de François Mezzapelle).
La nuit vient dans les Yeux, Saint-Benoît-du-Sault, Tarabuste, 1997 (avec des dessins de Jillali Echarradi).
La peinture du poème s’en va, Saint-Benoît-du-Sault, Tarabuste, 1998.
Anacoluptères, Saint-Benoît-du-Sault, Tarabuste, 1998 (avec des illustrations de Pierre-Yves Gervais).
Relation, essai de deuxième ancrit (1962-63; 1996), Saint-Denis- d’Oléron, Océanes, 1999.
Labrego coma (cinco veces), Saint-Jacques- de-Compostelle, Noitarenga, 1999 (avec des photographies d’Emilio Arauxo).
Si peu de terre, tout, Chaillé-sous-les-Ormeaux, Le dé bleu, 2000. Repris dans Affaires d’écriture (ancrits divers).
L’Amérique un peu, Montréal, Trait-d’union, 2000. Repris dans America solitudes.
Ecrire à côté, Saint-Benoît-du-Sault, Editions Tarabuste, 2000.
Une petite fille silencieuse, Marseille, André Dimanche, 2001. Repris dans Figures qui bougent un peu et autres poèmes.
Monsieur l’évêque avec ou sans mitre, Chaillé-sous-les-ormeaux, Le dé bleu, 2002 (avec des illustrations de Edwin Apps).
Mouvementé de mots et de couleurs, Cognac, Le temps qu’il fait, 2003 (avec des photographies de Lorand Gaspar). Tirage de tête (avec une photographie originale de Lorand Gaspar).
Les mots longtemps, qu’est-ce que le poème attend?, Saint-Benoît-du-Sault: Tarabuste, 2004. Repris dans Affaires d’écriture (ancrits divers).
Sans doute qu’un titre est dans le poème, Rennes, Wigwam, 2004 (avec des reproductions de peintures de Mariène Gâtineau). Repris dans Le poème n’y a vu que des mots.
Trois anciens poèmes mis ensemble pour lui redire je t’aime, Devois-du-Château, Cadex éditions, 2006 (avec une vignette de couverture d’Yvon Vey).
Broussaille de prose et de vers où se trouve pris le mot paysage, Sens, Obsidiane, 2006 (avec des reproductions de dessins peints de Khalil El Ghrib).
Aneries pour mal braire, Saint-Benoît-du-Sault, Tarabuste, 2006.
Khalil El Ghrib, éditions Virgile, « Carnets d’ateliers », 2007 (avec cinq reproductions de dessins de Khalil El Ghrib). Tirage de tête (sous étui avec un dessin original de Khalil El Ghrib).
Le poème n’y a vu que des mots, Chaillé-sous-les-Ormeaux, L’Idée bleue, 2007.
Un paradis de poussières, Marseille, André Dimanche éditeur, 2007.
Se os felos atravesan polos nosos poemas ?, Santiago- de-Compostela, Amastra-N-Gallar, 2008 (avec des photos d’Emilio Araúxo).
Comme pour être un jardin, Tunis, Tawbad, 2008 (bilingue, texte traduit en arabe par Saleh Diab ; couverture d’Anne Slacik).
Une idée de jardin à Beyrouth, Soligny-la-Trappe, Ficelle n° 84, 2008. Tirage de tête (sous coffret, avec une gravure originale de Vincent Rougier).
Coudre ton enfance à demain, Montluçon, Contre-allées, « Poètes au potager », 2008. Repris dans Donne-moi ton enfance.
D’autres vanités d’écriture, Tarabuste éditeur, Saint-Benoît-du-Sault, 2008.
31 poèmes de l’Amérique un peu, Martigues, Contre-Pied, 2008. Repris dans America solitudes.
Bernard Pagès, Elancées de fêtes, mais tenant / Au socle du monde, Paris, La pionnière / Pérégrines, 2009 (avec des photographies de sculptures de Bernard Pagès).
Portrait du père en travers du temps, Nancy, La Dragonne, 2009. Tirage de tête (avec une lithographie originale de Djamel Meskache).
Le désir échappe à mon poème, Paris, Al Manar, 2009 (avec cinq reproductions de dessins de Mohamed Kacimi). Tirage de tête (sur vélin d’Arches).
A port de temps, collectif, « De n’importe où à nulle part dans le mot septembre », Gigondas, Atelier des Grames, 2009/2010. Repris dans Figures de Silences.
Retour en des cafés de là-bas, Laon, La porte, 2010.
Tissus mis par terre et dans le vent, Paris, Le Castor Astral, 2010 (avec des reproductions de photographies de Bernard Abadie).
En tirant sur les mots, La Fermeté, éditions Potentille, 2010 (avec une photographie en couverture d’Emilio Araúxo). Repris dans Figures de silences.
Peliqueiro levantando os brazos, Saint-Jacques-de-Compostelle, Amastra-N-Gallar (un fragment de lettre traduit en galicien par Emilio Araúxo, et une photo d’un peliqueiro).
America solitudes, Marseille, André Dimanche éditeur, 2010.
Où vas-tu dans la forêt, Odile Fix, 2010 (avec 3 photographies de Magali Ballet).
Mobile de camions couleurs pour le noir et blanc de plusieurs photographies de Michel Butor, Besançon, Editions Virgile, 2010 (avec 9 photographies de Michel Butor).
Durance, version dite « de papier », Atelier des Grames, leporello de 12 pages tiré à 111 exemplaires, 2011.
Si les felos traversent par nos poèmes ?, Remoulins-sur-Gardon, éditions Jacques Brémond, 2012 (avec 7 photographies d’ Emilio Arauxo et une de James Sacré), 64 pages.
Xestos para continuar, Amastra-N-Gallar, 2012 (avec 2 photographies d’Emilio Araúxo et sa traduction du poème en galicien), 12 pages, editión non venal.
Le paysage est sans légende,Paris, Al Manar, éditions Alain Gorius, 2012 (avec des reproductions de dessins de Guy Calamusa) 48 pages.
Affaires d’écriture (ancrits divers), Saint-Benoît-du-Sault, éditions Tarabuste, collection « Reprises », 2012, 234 pages.
À Bazoches, Bazoches, Du poil aux genoux, 2013 (en supplément à la revue, n° 36 du 6 janvier 2013) (4 pages). Repris dans Un effacement continué ?
« Affaires de formes », Catalogue Claude Viallat, Bernard Ceysson éditeur, 2013 (vingt poèmes avec des reproductions d’œuvres de Claude Viallat et une présentation de Pierre Manuel).
Ah ! V’la un papillon, Saint-Benoît-du-Sault, éditions Tarabuste (avec six planches de reproductions d’œuvres de Daniel Dezeuze), 2013.
Parler avec le poème, Genève, La Baconnière, collection Langages, 2013.
Donne-moi ton enfance, Saint-Benoît-du-Sault, éditions Tarabuste, 2014.
Ne sont-elles qu’images muettes et regards qu’on ne comprend pas ? Baume-les-Dames, Aencrages & Co, 2014.
On cherche, on se demande, Laon, La Porte, 2014.
Ecrire un poème, Saint-Omer, La Main qui écrit et Les Venterniers, 2015 (avec des encres de Chine et une suite de poèmes de Florence Saint-Roch et un entretien avec Florence Emptaz), 63 pages.
Dans l’œil de l’oubli suivi de Rougigogne, Sens, Aux éditions Obsidiane, 2015, 94 pages.
Un désir d’arbres dans les mots, Paris, Fario, 2015 (avec des dessins de Alexandre Hollan)
James Sacré, par Alexis Pelletier (avec une étude d’Alexis Pelletier, un entretien et une anthologie de textes), Bordeaux, éditions des Vanneaux, « Présence de la poésie », 2015.
Figures qui bougent un peu et autres poèmes, Paris, Gallimard, « Poésie/Gallimard », 2016 (avec une présentation par Antoine Emaz).
Un effacement continué ? (Portrait du père en travers du temps, 2), Nancy, La Dragonne, 2016 (avec six reproductions de peintures de Djamel Meskache).
Affaires d’écriture 2 (Ancrire ce qu’on voit), Saint-Benoît-du-Sault, éditions Tarabuste, collection « Reprises », 2016.
Cappuccino brioche au Belvedere Bar à Montalcino, Montpellier, Faï fioc, « les cahiers 3€ », décembre 2016.
Quelle bête noire ? Bélinay, Editions Le Frau, collection « Bêtes noires »,2017, huit poèmes et cinq photographies de Magali Ballet, non paginé.
Dans la parole de l’autre, éditions V. Rougier, collection « Plis urgents », 2018.
Ecrire pour t’aimer ; à S.B. suivi de S.B. hors du temps, Faï fioc, 2018.
Et parier que dedans se donne aussi la beauté, Aencrages & Co, collection Territoires, Baumes-les-Dames, 2018 (avec 4 clichés typographiques de dessins de Guy Calamusa).
Une main seconde, Fario, 2018 (avec des dessins de Jacques Clauzel) (Tirage de tête de 30 exemplaires avec un dessin original de Jacques Clauzel et sous étui personnalisé).
Figures de silences, Tarabuste, 2018 (tirage de tête de 30 exemplaire avec un dessin original, lithographie rehaussée de couleur dorée, de Djamel Meskache).
Un pays mal continué (De la Gardiole aux Aresquiers),2019, Méridianes, collection Liber (accompagné de 15 peintures (gouache et pastel) de Vincent Bioulès)
(15 exemplaires de tête numérotés et signés accompagnés d’une peinture sur papier de Vincent Bioulès, et quelques exemplaires marqués E.A.)
Pais de carballos, pais de casti?eiros, 2019, Amastra-N-Gallar (avec la traduction du poème en galicien et une photographie d’Emilio Arauxo, 8 pages,),
Dans la parole de l’autre, livret 2, Lorand Gaspar, Edmond Amran El Maleh, 2019, Rougier V. éd. “Plis urgents” (avec la reproduction de 9 petites peintures de Philippe Hélénon).
Tirage de tête de 8 exemplaires avec une peinture originale et une boite coffret ornée d’un pliage de Vincent Rougier.
Je s’en va, avec Sans place d’Antoine Emaz, 2019, Méridianes, collection Duo,
Herses, 2019,Tarabuste, “Catalogue” Titus-Carmel, Inscape (cinq livrets sous étui, Boddaert, Commère, Emaz, Sacré, Titus-Carmel)
Livres en traduction :
Noe som ikke er godt fortalt, Oslo, Forlaget Oktober As, 2000, 70 pages (Quelque chose de mal raconté, traduit en norvégien par Thomas Lundbo, avec une note de Rune Christiansen).
Se os felos atravesan polos nosos poemas ?, Amastra-N-Gallar, 2007. (traduction par Emilio Araúxo)
Figurer som rØrer seg litt, Oslo, Forlaget Oktober, Norvège, 2009,80 pages (traduction en norvégien de Figures qui bougent un peu par Tom Lotherington avec une note de Rune Christiansen).
Livres à tirage limité et livres d’artistes:
La transparence du pronom elle, Bagnols, Chambelland, 1970 (avec des burins d’Yvon Vey)..
Une bonbonne, Paris, Collectif Génération, 1978.
Fire, Paris, Collectif Génération, 1981 (avec des photographies de Ian Baxter).
Déplier replier le poème; l'abandonner, le ranger, Saint-Benoît-du-Sault, éditions Tarabuste,1988 (avec des travaux de Thierry-Loïc Boussard).
Paysan comme (quatre fois), Paris, Collectif Génération, 1989 (avec des peintures de Jane Hammond, Sonia Guerin, et Ronald King).
Comme un geste d'écriture, Paris, Bernard-Gabriel Lafabrie, 1991 (avec des lithographies de Lafabrie)..
Noces: moments que le bonheur te prendrait par la main; ou par les mots, Nice, La Mètis, 1992 (avec un dessin de Philippe Favier).
Passage par sept poèmes d'un autre livre, La Madeleine, ed. de, 1993.
Paroles de l'autre, Nice, Epiar-Cnap, 1993 (avec des sérigraphies de Laura Corti).
Une dimension de silence, Liancourt-Saint Pierre, Atelier de papier, 1993 (avec des gravures d'Isabelle Baeckeroot et de Didier Godart).
L'éternité c'est juste à côté, Saint-Benoît-du-Sault, éditions Tarabuste, 1994 (avec des travaux de Patrick Mellet).
Haïk de mots pour Essaouira, Saint-Benoît-du-Sault, éditions Tarabuste, 1994 (marqué été 1995) (avec six lithographies peintes de Mohamed Kacimi et trois planches de texte).
Si on voit tout sans rien voir?, Nice, Epiar-Cnap, 1995 (avec des travaux de Sonia Guerin).
Petite note sur le désir d'écrire, Paris, Collectif Génération, 1996 (avec des interventions de Françoise Quardon).
Voyages au centre de la chair, Paris, La Voix du Regard, 1996 (collectif peintres et poètes).
Le corps qui maintient, Paris, Editions Maeght, 2001 (avec deux gravures de Jean-luc Parant)..
On a traversé des territoires indiens, Montpellier et Saint-Hilaire du Rosier, Editions de livres objets “Le Galet”, 2001 (sept poèmes manuscrits avec sept pastels de Thierry Lambert)..
Comme un brouillon continué, L’Ile Rousse/ Montpellier, Baltazar, 2002 (poèmes manuscrits avec des peintures de Julius Baltazar)..
Si le corps dit, vraiment?, L’Ile Rousse/ Montpellier, Baltazar, 2002 (poèmes manuscrits avec des peintures de Julius Baltazar)..
Comme un repli du temps dans le jardin diminué, L’Ile Rousse/ Montpellier, Baltazar, 2002 (poème manuscrit avec des peintures de Julius Baltazar)..
Caresse d’écriture à des couleurs, Nice/ Montpellier, Gérard Serée, 2002 (poèmes manuscrits avec une gouache, un travail peint et des gravures de Gérard Serée qui a fabriqué le livre)..
Comme pour être un jardin, Paris, Robert et Lydie Dutrou éditeurs, “En Puisaye” n° 10, 2002 (avec Cinq lithographies de Jean-Paul Agosti et une gravure originale pour les exemplaires de l’édition de luxe)..
Un reste de fruit qu’on a mangé, Gallargues-le-Montueux, À travers, 2003 (poèmes pour accompagner une photographie de Jacques Clauzel)..
La mémoire de personne, Lyon, C. D’hervé éditeur, 2004 (avec une eau-forte de Richard Texier).
Un p’tit garçon, je sais plus, Paris, Bernard-Gabriel Lafabrie, 2004 (avec six linogravures de Joan Hernandez Pijuan).
Ecriture aux objets d’encre, Octon, Verdigris, 2005 (avec quatre gravures en manière noire de Judith Rothchild; exemplaires de tête avec une mezzatinte supplémentaire de Judith Rothchild; typographie, étuis et coffrets de Mark Lintott).
Du sensible et du parfum d’ange, Saint-Benoît-du-Sault, éditions Tarabuste, 2005 (avec des travaux de Khalil El Ghrib).
Un, deux... seize, Paris/Pompignan, Anne Slacik éditrice, 2005 (texte disséminé dans seize livres peints par Anne Slacik).
Petit volucraire patoisé, La Touche, “Collection privée”, 2006, livre fabriqué, illustré et calligraphié par Guerryam).
Une galbule, Gallargues-le-Montueux, éditions À Travers, 2006 (avec une photographie de Jacques Clauzel).
(ou la rivière) une rivière, Soussans, Ateliers Barraud-Parage, (extraits de Cœur élégie rouge et d’Une petite fille silencieuse avec des dessins de Claude Barraud).
On s’imagine, Pierrerue, Youl, 2007 (livre fabriqué et illustré par Youl).
Serge Fauchier, “Entre peinture et poème, l’éclairage vient peut-être de l’écart”, Montpellier, Méridianes, 2007 (avec un texte de Christian Limousin).
Un seul mot, Nice, Atelier gestes et traces, 2008 (livre manuscrit avec 5 gravures de Gérard Serée qui a fabriqué le livre).
Trois ou quatre petits livres et quelques plus grands formats de papier, Montpellier/Vitry, Les éditions de Rivière, 2009 (quatre poèmes avec une peinture de Julius Baltazar).
Paroles du corps à travers ton pays, Anger, Atelier de Villemorge, 2009, (cinq poèmes avec deux gravures sur bois de Jacky Essirard).
Mon poème empêché, Saint-Christol-lez-Alès, Les éditions de Rivière, 2010 (trois poèmes imprimés par François Huin, typographe à L’Hay-les-Roses, et les 22 pages peintes par Julius Baltazar), 30 exemplaires sur vergé Van Gelder peint au préalable avec rehauts à l’encre de Chine et crayon arlequin.
Un désir de paysage, Montpellier, Maison de la Gravure Méditerranée, 2010 (cinq gravures de Mustapha Belkouch, et des encres, six poèmes de James Sacré et collaboration de Vincent Dezeuze pour l’impression, livre cousu et dos collé dans une reliure coffret de métal.
Durance, Gigondas, Atelier des Grames, 2011 (textes gravés par Anik Vinay sur trois galets reliés par un fer).
Camions transportés d’écriture, Saint-Laurent-du-Pont, Le Verbe et l’Empreinte, 2011 (exemplaires sur vélin d’Arches, avec une gravure en relief rehaussée d’argent de Marc Pessin, La gravure et une double page contenant les poèmes mis dans une chemise de vélin d’arche).
Un serpent de vert, Paris, Joël Leick, 2011 (deux exemplaires manuscrits avec des photos et couleurs de Joël Leick).
Couleurs qui te regardent, Montpellier, Maison de la Gravure Méditerranée, 2011(avec neuf gravures et quatre reproductions d’encres de Mostafa Belkouch, et un gaufrage en couverture).
Femmes dans l’ombre d’autres femmes, Paris, Peauésie de l’Adour, 2010 (avec des dessins originaux de Colette Deblé).
Bâches, bernes et d’autres toiles parlées, Montpellier, éditions Méridianes, 2012 (dans Ji, feuille de papier coréen Han-Ji pliée en huit avec, au verso, une estampe de Claude Viallat.
Le paysage est sans légende, Paris, Éditions Alain Gorius, 2012,( leporello de huit pages, avec un dessin peint de Guy Calamusa au recto et le texte des poèmes au verso).
Paysage au rouge, Paris, Joël Leick, « Books and Things », 2012, (deux exemplaires manuscrits avec des photos et couleurs de Joël Leick).
Une touche de vert, Paris, Joël Leick, « Books and Things », 2012, (deux exemplaires manuscrits avec des photos et couleurs de Joël Leick).
Des mots traversés par le temps, Saint-Christol-lez-Alès, Les éditions de Rivières, 2012 (avec trois dessins d’Yvon Vey pour chacun des douze exemplaires).
Si le monde est en couleur ? Tours/Montpellier/Caen, Le livre pauvre, « Conflit », 2012 (avec des interventions de Philippe Boutibonnes).
Quatre fois son portrait dans les Etats-Unis d’Amérique, éditions Wequetequock Cove-Stonington, 2012 (avec quatre gravures sur cuivre de Julius Baltazar, pressées par l’Atelier Alain Piroir à Montréal sur japon sekishu préalablement peint à l’unité par le peintre, et un original en frontispice de la page de titre. La traduction des quatre poèmes en américain est de Joshua Watsky).
Artine mal étoilée, Tour/Montpellier/Caen, Le livre pauvre, série « Artine », 2013 (avec des interventions de Philippe Boutibonnes).
Maison natale demain, Montpellier, éditions Méridianes, 2013 (avec des peintures de Jean-Paul Héraud)
A peine une réponse, Paris, Joël Leik, « Paisatges », 2013, un livret unique.
Landscape en bleu, Paris, Joël Leik, 2013, un livret unique.
Neuf vers pour une question, Paris, Joël Leik, « Landschaft », 2013, un livret unique.
Ne sont-elles qu’images muettes et regards qu’on ne comprend pas ? Baume-les-Dames, Aencrages & Co, 2014. (avec une peinture originale pliée en quatre de Colette Deblé encartée dans le livre).
Un jour on est là, Nîmes, Editions de La Margeride, 2014 (50 exemplaires, sur Olin 250 g, avec une couverture aquarellée et une aquarelle sur double page de Robert Lobet ; conception, impression et peintures de Robert Lobet). Edition dite de tête, (12 exemplaires, avec couverture et quatre peintures intérieures sur double page, bâton d’encre de chine et encres diluées de Robert Lobet)
Affaires de formes, Languidic, éditions La Canopée, 2014, avec deux suites de peintures de Claude Viallat, sous emboîtage par l’Atelier Jeanne Frère à Nantes, et deux empègues (pochoir) d’Yves Martin réalisés à partir de deux dessins de Claude Viallat) (21 exemplaires).
Quatre fois sur le motif, au Languedoc, Paris, collection « Mémoire », 2014 (avec des peintures de Georges Badin ; trois exemplaires).
Solitude et silence dans le geste des titres, Saint-Christol-lez-Alès, Editions Mains-Soleil, décembre 2014 (avec des peintures de Fabrice Rebeyrolle) (12 exemplaires : trois pages intérieures d’un dépliant).
Quel geste a fait ton père que tu ne comprends plus ? , chez Alain Freixe, Les Cahiers du Museur, collection « A côté », 2014 (deux poèmes : « Ma guenille : des carnets mal écrits sans forme » ; « Le paysage traversé ce matin », avec des interventions de Guy Calamusa) tirage de 21 exemplaires.
Poesia alla pugliese, Nice, Atelier Gestes et Traces, 2014 (texte manuscrit, avec huit peintures de Gérard Serée ; trois exemplaires).
Personne, Montolieu, Editions Rencontres, 2014, chaque exemplaire contient deux peintures de Jacques Clauzel ; coffret réalisé par les ateliers Dermont-Duval. 9 exemplaires.
Personne, Montolieu, Editions Rencontres, 2014, chaque exemplaire contient deux collages de Jacques Clauzel ; étui réalisé par les ateliers Dermont-Duval. 3O exemplaires.
D’une page à l’autre, Tours, Le livre pauvre, 2014, avec une peinture de Jean-Noël Bachès, six exemplaires.
Une chèvre en Méditerranée, Soussans, Ateliers Barraud-Parage, mars-avril 2015 (cinq feuillets de papier Ingres MBM Arches, 35 exemplaires numérotés et 3 exemplaires HC).
Ombres et lumières du chai, Soussans, Ateliers Barraud-Parage, avril 2015 (30 exemplaires numérotés et 3 exemplaires HC . Extraits de Bocaux, bonbonnes, carafes et bouteilles (comme), dessins de Claude Barraud dont un original).
Comme un bâti de fil, Paris, Book Leick, 2014 (écrit en juillet 2015 ; deux exemplaires uniques).
Tenir ensemble, Paris, Book Leick, 2014 (écrit en juillet 2015 ; deux exemplaires uniques).
Gravures, Paris, Al Manar, 2014 (26 exemplaires, les 6 premiers avec une plaque gravée dans la couverture, sous étui).
Marrakech écriture , Robin dort , Maguelonne , Au musée Fabre , Quel esprit montré ? , Face à Face, 2015, livrets réalisés par Jean-Pierre Thomas à Samoreau (chaque livret en deux exemplaires)
Poesía alla Pugliese, Nice, Atelier Gestes et Traces, 2015, orné de 7 peintures originales , plus une pour la couverture par Gérard Serée.
Si légers fragments du monde, Montpellier, Association Méridianes, 2015 , « Collection Liber », avec des collages de Khalil El Ghrib (25 exemplaires, deux œuvres originales de Khalil par livre).
Quelque chose chante ou crie dans la douceur du noir, Nice, Atelier Gestes et Traces, 2016 (avec cinq linogravures et un cul-de-lampe de Gérard Serée, neuf exemplaires).
Si on entend dans les parages/ Les bêtes noires ?, Bélinay, éditions le Frau, « Les fibrilles du Frau », 2016 (deux vers).
Par hasard, un peu du monde, Gallargues-le-Montueux, A Travers, 2016 (avec 5 peintures uniques de Jacques Clauzel, 10 exemplaires).
Ta solitude éblouie / Your solitude, dazzled, Paris, Al Manar, 2017 (avec des dessins, peintures et photographies de Joël Leick, et une traduction des poèmes en anglais de David Ball) (22 exemplaires imprimés en décembre 2016).
« Variations au bord d’un mot », Paris, Les Cahiers du trait, « Iles », 6 pages (avec Nicole Malinconi, et Paul Louis Rossi, et les artistes Anne Paulus, Christiane Vielle et Wang Suo Yuan). (100 exemplaires numérotés et signés par les auteurs ; octobre 2016, quatrième volume des Cahiers du Trait)
Le silence et l’énigme, Les Immémoriaux, Daniel Leuwers, 2018, un poème avec une intervention de Claude Viallat (4 exemplaires).
James Sacré / Maria Desmée, « Ça ne pourrait pas être un bout d’écorce », Maria Desmée, 2018, un poème avec une intervention de Maria Desmée (10 exemplaires).
James Sacré / Martine Jaquemet, collection Légion d’horreur , « Le livret s’ouvre » (trois exemplaires, une feuille cartonnée pliée formant quatre pages avec deux rabats).
Quelque chose a roulé, Octon, Verdigris, 2018 (35 exemplaires dans un coffret, leporello de 9 pages, avec deux gravures en manière noire de Judith Rothchild ; 4 ex. de tête avec un fragment des cuivres originaux).
La couleur des oliviers bouge, éditions La Regondie, 2018 (5 exemplaires chacun avec onze peintures d’Anne Slacik dont dix sur double page. Livre sous étui plexiglas).
Ancrits pour des couleurs, éditions Méridianes, 2018 (30 exemplaires et quelques exemplaires réservés aux collaborateurs numérotés E.A., chacun avec 6 monotypes et une gravure originale de Mustapha Belkouch)
Brisées d’arbres / En quatre livrets Leick, 2018, Book Leick (2séries de quatre livrets chacune, chaque exemplaire étant unique)
Précautions que prend le poème : Ne pas troubler l’eau des pages peintes, Monticello / Montpellier, 2018, Julius Baltazar (quatre livrets, chacun comportant deux leporello de huit pages (recto et verso) peintes par Julius Baltazar)
Sept sandales de mots au bord d’on sait pas quoi, 2019, Rencontres, « Les cheveux de Pélé » (trente exemplaires, avec cinq dessins de l’artiste (M. G.) sérigraphiés par Gérard Adde à Agde, un dessin de Marc Gérenton et un manuscrit de James Sacré, et cinq exemplaires hors commerce.)
Bousillage de peinture et de mots, Atelier Gestes et Traces, 2019 (3 exemplaires avec chacun dix peintures originales de Gérard Serée qui a aussi peint la couverture et des poèmes manuscrits par l’auteur).
4 placards, Plack’Art, 2019 (24 exemplaires; 4 poèmes imprimés sur des feuilles d’Arches Baltazariées au préalable mises dans une chemise bleue) (Trois poèmes “Ecrire en Toscane” et un titré “Si les mots t’emportent”).
Cassette/CD: L'obscurité qui nous prend par la main. Paris: Artalect, 1994. Repris en CD chez Artalect, 2006.
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